• VIH / SIDA 10 questions restées sans réponse

    VIH / SIDA 10 questions restées sans réponse"Le Sida et le VIH sont des concepts artificiels, définis par des impératifs politiques, moraux et économiques, et non par une analyse scientifique honnête et rigoureuse. Un nombre croissant de dissidents ont exprimé leurs doutes sur le dogme VIH/SIDA depuis le début de la controverse. De nombreuses questions sont restées sans réponse et ont été exclues de tout débat public. 

    Ces questions comprennent :

    1- Où est la preuve de l'existence du VIH ? L'isolement de ce virus, directement à partir des malades sidéens, n'a jamais pu être prouvé par les critères traditionnels de la virologie. 

    2- Et quand bien même ce rétrovirus existerait, les articles scientifiques publiés en 1984 et indiquant un lien de causalité entre ce virus et la dépression immunitaire, ont, depuis, été démontrés frauduleux. Où a-t-on jamais prouvé rigoureusement que ce virus soit la cause de la trentaine de maladies collectivement appelées "Sida" ? Trois définitions différentes du Sida ont été formulées aux Etats-Unis par le "Centre de Contrôle des Maladies", la dernière incluant même des conditions qui débordent du cadre de la pathologie. 

    3-Deux théories diamétralement opposées ont été postulées depuis 1984. La première théorie, qui date de 1984, suggère que le VIH est un rétrovirus "lent" qui, après l'infection initiale, met des années avant de se réveiller et d'endommager le système immunitaire. La seconde théorie qui date de 1995 et qui prévaut actuellement, suggère que le VIH est actif immédiatement et dégrade progressivement les défenses immunitaires. Comment l'orthodoxie du Sida peut-elle s'accommoder de définitions aussi différentes et cependant appliquer les mêmes protocoles thérapeutiques ? 

    4-Où est l'épidémie annoncée au début des années 1980 ? Les chiffres publiés par l'Office Mondial de la Santé et par les média confondent la séropositivité VIH et le Sida ! Dans la plupart du tiers-monde, un test VIH+ n'est pas nécessairement un critère de diagnostic de Sida. Par surcroît, un grand nombre des maladies hélas traditionnelles dans le tiers-monde donnent des résultats faussement positifs au test du VIH. La conséquence étant que ces maladies ne sont pas traitées d'une manière appropriée. 

    5-Puisqu'il n'y a aucune preuve solide d'isolement du VIH, comment le test pourrait-il être considéré comme spécifique, et, sur le plan déontologique, comment ces tests "positifs" pourraient-ils être présentés aux patients comme une menace de mort imminente, et comme l'obligation pour ces patients de s'exposer à des médicaments dangereusement toxiques ? 

    6-Où est la preuve de l'efficacité des médicaments anti-rétroviraux qui sont les substances les plus toxiques jamais mises sur le marché dans toute l'histoire de la médecine ? 

    7-Et qu'est-ce qui pourrait jamais justifier que ces médications hautement toxiques aient pu être approuvées par les autorités pharmaceutiques en des temps records ? 

    8-Les personnes qui ont survécu de nombreuses années à un diagnostic de séropositivité ont toutes un point commun : elles ont toutes refusé les traitements officiels, et ont toutes utilisé des traitements naturels et économiques favorisant la stimulation immunitaire. Pourquoi ces résultats ne sont-ils pas portés à la connaissance du public ? Est-ce que l'Afrique du Sud envisage vraiment d'investir dans des médicaments fort coûteux et d'efficacité non-démontrée ? 

    9-Où est le comité de surveillance, indépendant et international, qui pourra limiter les monopoles économiques et scientifiques en matière de santé publique ? Le succès de l'Afrique du Sud, en refusant la politique mondiale actuelle sur le Sida, pourrait ouvrir la voie vers la création d'un tel comité. 

    10-Pieter Piot, directeur de UNAIDS, a systématiquement refusé (ou a été incapable) de fournir la moindre preuve de l'existence du VIH et/ou de son lien de causalité avec le Sida. Pourquoi ? Est-ce que ceci ne devrait pas représenter la pierre angulaire d'une politique internationale du Sida ?

    Ces quelques questions doivent être posées publiquement et doivent recevoir une réponse si nous voulons voir le commencement de la fin d'une des plus grandes tragédies médicales et scientifiques de notre époque. 

    Nous voulons encourager et demander au peuple d'Afrique du Sud de devenir les champions du monde en refusant une exploitation immorale basée sur la définition artificielle d'une maladie. Votre pays a les moyens de résoudre les problèmes de pauvreté, de malnutrition et de santé publique par des moyens humanitaires, en dehors de la peur et de l'oppression créée par la fausse science des géants de l'industrie pharmaceutique. 

    Votre courage peut éclairer, pour d'autres, le chemin qui les libérera de la peur, des manipulations et des voracités économiques qui entravent aujourd'hui les progrès de la santé dans le monde.

    Pour nos enfants, et les enfants de nos enfants.VIH / SIDA 10 questions restées sans réponse                 

                                                                              Sources

    Mark Griffiths et Etienne de Harven,

    Association Mark Griffiths, 

    (A.M.G. loi 1901 non-profit), 

    La Métairie Blanche, 11190 La Serpent, France. 

    Tél : +33 (0)4 68 31 27 91


  • Commentaires

    1
    Octavo
    Mardi 22 Octobre 2013 à 23:04

    ce texte est dangereux .... il prétend dénoncer des choses fausses ... et est construit sur du faux.

    L'isolement du virus a été fait et le virus a même été "photographié".

    J'ai des amis séropos, qui le sont depuis plus de 30 ans et sont sous trithérapie. Aussi dire que les "survivants" le sont parce qu'ils ne prennent pas d'antiviraux est faux.

    Dire qu'il y a 2 théories qui s'opposent n'a aucun sens : tout simplement parce que pour toute maladie infecieuse, les réactions varient selon les sujets ... le sida ne sort pas de cette logique. Certains personnes meurent en quelques mois, d'autres  vicenbt depuis des décennies avec le virus. Et alors?

    Enfin le sida, n'est pas un virus ... mais un syndrome, c'est-à-dire, un ensemble de symptômes liés à la présence d'un virus. Ces symptômes apparaissent et varient en présence de cofacteurs.

    Dire que les articles de 1984 sont frauduleux est simplement honteux ...

    Enfin, quel est l'intérêt d'un tel article? à qui profite-til? et que faites-vous des millions de morts dus au sida? Leur mort est une simple invention politique? une valse des chiffres?

    On peut se poser beaucoup de questions sur le sida, comme par exemple sa prise en charge, la prise de médicaments ou non, etc.... mais ignorer son existence, ou tout au moins les faits - c'est-à-dire les morts et les malades- est une injure à ceux qui souffrent.

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