• Le sida n’est pas une maladie contagieusePréambule : le préservatif est utile, il permet de se protéger des véritables MST, mais aussi de se passer des pilules contraceptives qui détériorent la santé des femmes. Mais pour le VIH.. n’y comptez pas on ne sait même pas s’il existe vraiment et le SIDA n’a peut être rien à voir avec l’existence d’un virus, tous comme le cancer d’ailleurs.

    Nous avons interrogé le SIDACTION sur la polémique soulevée par les propos du Professeur Montagnier, et sur ceux du Docteur Etienne de Harven et sur les nombreuses incohérences qui entourent historiquement la naissance du VIH qu’on accuse d’être responsable du SIDA. Voici notre courrier :

    Bonjour. Nous avons (internautes par millions) des doutes sur l’existence du virus qui cause le Sida. Après lecture de plusieurs livres sur le sujet, la vue de plusieurs interviews et documentaire dont celle de Montagnier dans House of Numbers paru en 2009. http://www.youtube.com/watch?v=bAPZnPuPuwc Montagnier dit clariement qu’en Afrique on ferait mieux de donner des nutriments, des mesures d’hygiènes pour lutter contre le stress et la dépression immunitaire. La liste des arguments qui vont à l’encontre de l’épidémie virale sont trop long pour être exposé ici et vous avez du les entendre déjà. Pouvez vous me donner votre point de vue ou développer une rubrique sur le site afin de répondre aux questions légitimes que de  plus en plus de gens se posent ?

    Voici maintenant la réponse que nous commentons en gras et en couleur.

    Monsieur, Merci de nous avoir fait part de vos interrogations. Nous avons connaissance du positionnement de M. E. De Harven, ainsi que des controverses qui sont alimentées par les différents négationnistes. Il est important de savoir que ces livres sont construits pour soutenir la théorie du complot, déjà vue pour d’autres thématiques (par exemple : l’homme n’aurait jamais marché sur la lune, ou l’holocauste n’aurait jamais eu lieu). Ils placent les populations en victimes d’une manipulation médiatique et politique. De plus ils exposent, pour le VIH, une grande accusation des homosexuels, toxicomanes et des personnes vivant en Afrique subsaharienne, mettant en cause leur « style de vie ». Nous vous invitons à être vigilent lors de la lecture des blogs dont vous parlez sur Internet. Les éléments suivant pourront apporter des réponses à vos questions.

     

    Ca démarre fort avec l’argument de base qui consiste à classer les sceptiques en adepte des théories du complot, on met dans un même sac tous le monde… si vous pensez que le VIH n’est peut être pas la cause du SIDA alors vous croyez que l’homme n’a jamais marché sur la lune que l’holocauste n’a pas eu lieu… Franchement ça vole très haut, et si je suis chauve c’est que je suis skined tant qu’on y est ? Remarquez tous les médias n’ayant pas d’arguments solide à faire valoir tente de clore le débat avec le mot qui tue : Theorie du complot….

    Les trois principales affirmations négationnistes sont :

    Le VIH n’existe pas et n’est pas la cause du sida.

    Le sida n’est pas une maladie contagieuse.

    Les antirétroviraux aggravent la santé des patients.

    Ces trois affirmations négationnistes se retrouvent dans plusieurs ouvrages, blogs… Les argumentations qui les soutiennent ne manque pas de contradictions, propos confus, fausses déclarations, interprétations des articles et reformulations erronées. Ceux qui les soutiennent mettent dans la bouche des scientifiques des propos raccourcis et de fausses affirmations.

    Et bien s’il y a tant d’erreurs que cela, pourquoi ne tentez vous pas d’y répondre, cela éteindra plus surement le doute qu’en levant les bras au ciel et en criant aux fous qui croient au complot.

    Il est important de savoir que les négationnistes ne sont pas reconnus par la communauté scientifique. Dans les revues scientifiques internationales, les données présentées sont expertisées par un comité indépendant avant publication. Vérifier la présence de publications récentes de personnes affirmant avoir des résultats scientifiques (douteux) est un bon moyen de savoir si ces personnes sont reconnues (véritables scientifiques).

    Alors là, cet argument ne tient pas, car les revues scientifiques et médicales sont soutenue financièrement par les laboratoires de l’industrie pharmaceutique. Les laboratoires de l’industrie pharmaceutique privée :

    financent à 83 % l’AFSAAPS, (rapport : IGAS (Inspection Générale des Affaires Sociales remis au Ministre de la Santé en Août 2007)

    financent à eux seul l’OMS à un niveau plus élevé que les 194 pays membre de l’OMS, 

    financent aussi les études scientifiques, rédigent les comptes rendu qu’ils fournissent ensuite à la commission AFSAAPS ou à l’UE. Les revues scientifiques en médecines sont au services de l’industrie big pharma qui à elle seule génère autant de profit que le pétrole. 

    financent les ONG chargées de la prévention et lutte contre le SIDA

    financent 100 % de  la formation continue des médecin qui une fois le diplôme en poche doivent se mettre à jour.

    On retrouve des personnes qui font des  va et vient de BIG PHARMA vers l’ONU, l’OMS,  un peu comme un infiltration de lobbying dans toutes les ONG

    Big pharma est présente à TOUS les échelons de la médecine… comme dit Coluche :  on est cerné.  La question est de savoir qui fabrique la communauté scientifique dont vous nous parler ?

    En Afrique du Sud, les thèses négationnistes ont fait d’énormes dégâts, c’est aujourd’hui le pays dans lequel on compte le plus grand nombre d’infections à VIH (avec une prévalence chez les femmes enceintes allant jusqu’à 30 %, vous pouvez aller voir les données de l’ONUSIDA de 2007).

    La encore, il faut tenir compte de la façon de comptabiliser les malades, car si vous êtes positifs en Afrique, il suffit parfois de se rendre en Australie ou en Angleterre pour d’un seul coup devenir séronégatif. En Afrique si vous avez une diarhée pendant une semaine, avec une grande fatigue, hop on vous classe comme malade du SIDA, on ne se pose pas la question de savoir quelle eau vous buvez, comment vous vivez, ce que vous mangez…  les chiffres des malades atteint du VIH sont une vaste escroquerie. Sans compter que les hopitaux en Afrique ne font pas des tests pour détecter les séropositifs, cela coûte trop cher. Voici une vidéo ou parle des responsables des tests de dépistage.

    -       Le VIH n’existe pas et n’est pas la cause du sida. Le VIH a été découvert et isolé en 1983. Cette découverte a été amplement vérifiée et confirmée depuis. Le VIH est un virus exogène (qui vient de l’extérieur) qui s’installe et se multiplie dans le corps et a un effet nocif (pathogène). Le VIH est directement détectable dans le sang des personnes infectées.

    Le VIH n’a été observé qu’en éprouvette de laboratoire sous stress artificiel et son apparition était endogène. Il n’existe à ce jour aucune image de ce virus observé au microscope électronique dans le sang de malade dont ont dit qu’ils ont une charge virale élevée.  De plus le VIH n’est pas un Virus exogène comme vous semblez le prétendre, mais un retrovirus, c’est une différence importante car nos ADN contient 1 % de retrovirus et ses retrovirus endogène (déjà en nous) peuvent dans certaines conditions déclencher des maladies… notamment comme celles qu’on retrouve dans le SIDA. Le professeur Montagnier lors d’une conférence en 2000, montre que le retrovirus du VIH s’extrait de la cellule malade, et c’est comme cela que Montagnier à identifié dans une éprouvette soumise au stress les premiers retrovirus VIH….. mais la question est alors, qu’est ce qui rend malade la cellule, pourquoi a t’on réussit à identifier ce retro virus en éprouvette, mais jamais chez l’homme ? Voici une vidéo qui rappel la formation endogène des retrovirus.

    Le sida n’est pas une maladie contagieuse L’absence de symptômes n’est pas une preuve d’absence d’infections. Les infections sexuellement transmissible (IST) ne se voient pas forcément (hépatite B, chlamydiæ, syphilis) et les conséquences à long terme peuvent être graves : cirrhose, cancer du foie, stérilité… Souvent, le seul moyen de savoir si on est contaminé par une IST est de se faire dépister. L’infection par le VIH est une maladie contagieuse, c’est une infection sexuellement transmissible. Les symptômes peuvent n’apparaître qu’après de longues années. Ce qui ferait du VIH le seul virus à se manifester après plusieurs années… étrange… Les liquides contaminants sont : le sang, le sperme, les secrétions vaginales de la femme, le liquide pré-séminal de l’homme (liquide transparent qui peut apparaître dès l’érection) et le lait maternel. Etant donnés les contextes de la transmission tous les individus : hommes, femmes et enfants, par la transmission mère-enfant, peuvent être concernés.

    Ah bon, pourquoi le SIDA est la première épidémies soit disant virale qui touchent plus les femmes que les hommes…. le virus est il sélectif. Pourquoi une épidémie touchent plus le tiers monde que l’occident ?

    -       Les antirétroviraux aggravent la santé des patients. Le VIH n’est pas un virus comme les autres car il s’attaque directement aux lymphocytes T CD4, chefs d’orchestre de notre système immunitaire. Ces cellules jouent un rôle central dans les mécanismes de défense de notre corps. L’infection par le VIH fragilise donc l’organisme et le rend sensible à des agents pathogènes auxquels il serait capable de résister s’il n’était pas infecté par le VIH. C’est justement parce que le VIH s’attaque directement aux défenses de l’organisme qu’il est difficile de le combattre. C’est un grand défi pour les chercheurs qui travaillent en immunologie et en virologie. Les traitements antirétroviraux (ARV), tout en étant des traitements lourds provoquant des effets indésirables importants, ont permis et continuent de permettre la survie de personnes séropositives. Avant 1996, année où les ARV ont été prescrits sous forme combinée : multithérapies, les personnes séropositives étaient destinées à une mort certaine. Aujourd’hui, grâce aux ARV, l’espérance de vie des personnes touchées par le VIH sous traitement s’est nettement améliorée. Pour votre information, le premier médicament anti rétrovirus vendu pour le SIDA était l’AZT, or ce médicament à été développer dans les années 60-70 dans le cadre d’un programme de lutte contre les cancer qu’avait voulue le président Nixon. Au moins, les millions engloutis dans ce projet ont pu être réinvestis… L’AZT fut inventé a une époque où l’on croyait que le cancer était provoqué par des rétrovirus dans les années 60. Puis considéré à l’époque comme un poison inadapté aux soins des humains, l’AZT fut jeté aux oubliettes. Le SIDA fut l’occasion de ressortir la molécule.  » L’AZT fait partie de la classe des analogues de nucléosides, molécules qui perturbent la constitution des brins d’ADN en cours de synthèse.

    Cette substance cytostatique empêche le processus de copie de l’ADN et bloque par conséquent la reproduction de toutes les cellules y compris celles du sytème immunitaire.Ce phénomène explique comment l’AZT, commes d’autres molécules du même acabit, aggrave l’immunodéficience au lieu de l’améliorer »   »Supercherie scientifique et arnaque humanitaire » de Jean-Claude Roussez.

    On sait aujourd’hui que l’administration de l’AZT chez des personnes séropositives a augmenté leur mortalité, ce qui permettait de renforcer l’hypothèse d’une épidémie de SIDA. Les nouveaux médicaments et l’arrêt de l’utilisation de l’AZT permettent ensuite de donner l’illusion que les nouveaux traitements sont efficace.

    Rappelons que pour le Professeur Montagnier, le mieux serait encore de donner une bonne alimentation, de l’eau potable, des prendre des mesures d’hygiène et diététique pour réduire le stress immunitaire. Le Professeur Montagnier, n’ose pas remettre en cause la théorie initiale, mais il reconnait que le SIDA à besoin d’autres facteurs de stress pour se développer.

    Et de cela toute la communauté scientifique est d’accord. Aussi, pourquoi l’action du SIDACTION ne pourrait elle pas servir à apporter des denrées alimentaires, installer des circuits d’eau potable, de retraitement des eaux usées….

    Cordialement, Sophie Lhuillier, PhD Chargée de la Communication Scientifique 228 rue du Faubourg Saint Martin 75010 Paris Tél : +33 (0)1 53 26 49 69 Fax :+33 (0)1 53 26 45 75 Mail:s.lhuillier@sidaction.org Site:http://www.sidaction.org

    Voici la réponse du site Sidaction à nos commentaires : Ils ont refusé que nous publions leur réponse et les remarques que nous y avons faites… vous l’image ci dessous…. Visiblement, ce n’est qu’une question d’opinion qui nous sépare… plus une question de science…. bon alors votons pour savoir si le VIH est bien la cause du SIDA ou si cela n’est pas la conséquence d’autres infections chroniques, de dénutrition, de stress oxydant  


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  • SIDA la vérité - (Professeur Luc Montagnier Prix Nobel)Au début des années 1970, le Président Américain Nixon lance un vaste programme de recherche pour trouver des solutions sur le cancer qui devient une maladie de plus en plus fréquente. Et au début des années 80 les résultats ne sont pas brillant, les recherches n’apportent pas les solutions espérée, l’immortalité est intouchable ! Le gouvernement US s’apprêtent donc à supprimer les crédits de la recherche.  Et c’est à ce moment, tout a fait par hasard que des chercheurs annoncent avoir découvert une nouvelle maladie chez des populations bien précises, (notamment consommateur de drogues dont on sait qu’elles sont responsable d’immunodépression).

    En 1983, Luc Montagnier découvre ce qui pourrait être un virus (retrovirus, on ne sait pas exactement ce que c’est) responsable du SIDA.

    En 1984, aux Etats Unis, le professeur Gallo, à partir d’un échantillon que lui a envoyé le Laboratoire Pasteur de Luc Montagnier, pense lui aussi avoir découvert de ce qui pourrait être la cause « probable » (5) du SIDA. Aussitôt, cette découverte est reprise par le Gouvernement qui annonce en conférence de presse par Margaret Heckel, Secrétaire d’Etat à la Santé, que le Professeur Gallo à « PROBABLEMENT » découvert le virus du SIDA. Ce ne sont pas les scientifiques qui ont fait cette annonce, mais le gouvernement, et le lendemain, tous les médias du monde relayent l’information en oubliant un mot : « PROBABLEMENT », ce qui a fait d’une hypothèse une certitude en moins de 24 heures. (1)(2).

    Peu de temps après cette conférence de presse, Caser Schmidt répond à la publication des papiers de Gallo en écrivant « The Group-Fantasy Origins of AIDS », qui est publié par le Journal of Psychohistory. Il avance que le sida est un exemple « d’hystérie épidémique » dans laquelle les populations reproduisent de façon inconsciente des conflits sociaux et il compare la situation à des cas documentés d’hystérie épidémique dans le passé qui ont fait croire à tort qu’il s’agissait d’épidémies.

    Par la suite, Margaret Heckler attribua le juteux contrat pour l’AZT à la Compagnie Pharmaceutique Burroughs-Wellcome avant même la parution de la première étude scientifique dans n’importe quel journal américain. L’AZT était un médicament en quête de maladie. Il était resté sur les rayons des Instituts Nationaux de la Santé pendant des années, c’était un médicament expérimental qui avait échoué dans le traitement du cancer. La rétrovirologie avait gagné en importance à cause de la « guerre du cancer » de Nixon et de la croyance qu’un rétrovirus puisse être la cause du cancer chez les humains.

    Le SIDA illustre la puissance des lobbys pharmaceutiques au service de l’économie et l’effacement de la raison face  l’émotion d’une maladie sexuellement transmissible.

    Les questions sans réponses sont nombreuses, et le doute est permis sur l’hypothèse de départ.

    Mais à la lecture des arguments de ce qu’on appel les dissidents, on comprend mieux pourquoi le SIDA touche les pays sous développés ( conditions d’hygiène défaillantes, à l’alimentation carencées), ou encore les populations consommatrice de drogues récréatives qui ont un effet immuno dépresseur avérés tout comme la transfusion sanguine. Pourquoi le SIDA se développerait plus en Afrique qu’en Europe ? Parce que les Africains seraient comme les singes copulant avec toutes les femelles de la tribu !! Probablement pas.  Par contre, le SIDA sert d’alibi pour justifier les maladies immunitaires en Afrique en occultant la base du problème, l’accès à l’eau potable et la malnutrition. Rappelons nous ce que dénonce Jean Ziegler le 22 octobre 2008 l’Europe débloquera 1500 milliards d’euros (La France 360 Milliards) pour sauver les Banques (3), là ou la FAO ne demande que 21milliards par an pour éradiquer la famine et la malnutrition chronique. (4). Dans le même temps l’Europe réduit de 10 à 6 milliards sont aides aux pays pauvres !

    Extrait wikipédia : Le syndrome d’immuno déficience acquises peut être provoqué par tout autres choses que le VIH :

    Agents infectieux

    Bactéries : cyanobactéries

    Virus : Virus de l’immunodéficience humaine causant le SIDA ???? Hypothèse de départ peut être fausse et  qui doit être débattue.

    La plupart des maladies inflammatoires chroniques et des maladies cancéreuses

     Causes iatrogènes

    médicaments anti-inflammatoires : stéroïdiens (de la famille des corticoïdes) ou non stéroïdiens (de la famille de l’aspirine : AINS).

    médicaments anti-rejets (utilisés dans les greffes d’organes)

    radiothérapie (si elle est pratiquée sur une grande surface corporelle). Sur le même principe, l’irradiation accidentelle peut être responsable d’une immunodépression en cas de doses importantes

    certains interférons.

    Intoxications

    Drogues récréatives ou non : héroïne, cocaïne, ecstacy, etc.

    Causes psychogènes 

    il a été démontré que le stress provoque un certain degré d’immunodéficience.

    Causes alimentaires

    la dénutrition (qui constitue la première cause d’immunodépression dans le monde1), la malnutrition2 et la sous-nutrition entraînent un état immunodéprimé (ou immunodépressif) qui favorise les infections3,4.

    En 2009 le professeur Montagnier, aujourd’hui à la retraite, et considéré comme le co-découvreur du VIH, répond à un journaliste lors d’une interview ou ses propos jettent un énorme pavé dans la marre.Que dit il dans cet entretien :

    « On peut guérir du SIDA avec des mesures simples d’hygiène, de nutrition, que le plus important ce n’est pas de vendre des produits pharmaceutiques évolués, mais de prendre des mesures sanitaires simples qui réduisent le stress immunitaires, l’activité des radicaux libres et que la nutrition avec des antioxydants est probablement le meilleur remède face au SIDA. »

    Le journaliste très surpris, lui demande,  « il n’y a pas de profit pour la nutrition », « oui il n’y a pas autant de profit » répond Montagnier. 

     

     


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  • Facteurs reconnus pouvant donner des résultats de tests VIH faussement positifs.L'establishment SIDA est arrivé à convaincre beaucoup de gens que les tests dits "du SIDA" (Elisa, IFA et Western Blot) sont sûrs à "99.5%". Dans cet article Christine Johnson donne une liste de situations reconnues comme pouvant faire réagir positivement ces tests. Elle s'est basée pour cela sur la littérature scientifique et donne ses références.

    Cette liste va sans doute susciter beaucoup de discussion et de controverses. Donnons donc dès le départ quelques éclaircissements.

    Qu'un facteur se trouve sur la liste n'implique pas qu'il va sûrement, ni même probablement, causer un résultat faussement positif. Un faux positif dépend des anticorps dont l'individu est porteur, mais aussi des caractéristiques de chaque test en particulier.

     Par exemple, certaines personnes, mais pas toutes, ayant reçu des transfusions de sang, ou ayant été plus d'une fois enceintes, ou ayant subi une transplantation d'organe, vont faire des anticorps HLA. Et certains tests (Elisa ou Western Blot), mais pas tous, seront contaminés par des antigènes HLA vis-à-vis desquels ces anticorps peuvent réagir. Il faut que ces 2 conditions soient réunies pour qu'un faux positif sur HLA apparaisse.

    Certains facteurs causent plus facilement que d'autres des faux positifs. Et d'autres facteurs que nous ne connaissons pas encore, mais qui pourraient nous apparaître à l'avenir, peuvent aussi causer de faux positifs.

    Certains des facteurs de la liste ont été étudiés par rapport seulement au test Elisa, d'autres par rapport aux tests Elisa et Western Blot (WB).

    Certaines personnes pourraient objecter que si un facteur est connu comme cause de faux positifs seulement avec le test Elisa, il n'y aurait pas de problème car le WB, lui resterait négatif. Mais n'oublions pas que le WB est un test basé sur l'accumulation de réactions antigènes-anticorps positives chez un individu (39). Donc plus un individu a été exposé à des protéines, agents infectieux et antigènes étrangers, plus il aura accumulé d'anticorps dans son organisme, et plus il est probable qu'il y aura chez cet individu suffisamment d'anticorps réagissant pour rendre le WB positif.

    Il faut noter que tous les groupes à risque SIDA, y compris les Africains, ont en commun ce problème : il sont exposés à une foule de protéines et antigènes étrangers. Ce qui n'est pas le cas de la population générale aux Etats-Unis et en Europe occidentale. C'est la raison pour laquelle les représentants d'un groupe à risque ont souvent un WB positif (et sont de ce fait considérés comme "infectés par le VIH"), et pas les autres gens. Des gens "non à risque" peuvent cependant, pour des raisons encore mal comprises, présenter aussi un WB positif. (47)

    Comme on a pu trouver des faux positifs pour chaque protéine VIH (36), comment savoir si les bandes positives du WB sont le témoin de protéines VIH ou bien seulement un ensemble de réactions faussement positives à divers anticorps non VIH ?

    Facteurs reconnus pouvant donner des résultats de tests VIH faussement positifs.

      anticorps anti-glucidiques (52, 19, 13) 

    anticorps spontanés (5, 19) 

    immunisation passive par gammaglobulines ou immunoglobulines (utilisées prophylactiquement contre une infection immunisante). (18, 26, 60, 4, 22, 42, 43, 13) 

    lèpre (2, 25) 

    tuberculose (25) 

    mycobactérie aviaire (25) 

    lupus érythémateux disséminé (15, 23) 

    insuffisance rénale (48, 23, 13) 

    insuffisance rénale avec hémodialyse (56, 16, 41, 10, 49) 

    traitement à l'interféron de patients hémodialysés (54) 

    grippe (36) 

    vaccin antigrippal (30, 11, 3, 20, 13, 43) 

    herpès simplex 1 (27) 

    herpès simplex 2 (11) 

    infections des voies respiratoires supérieures (rhume ou grippe) (11) 

    infection virale récente ou vaccination contre maladie virale (11) 

    grossesse chez des femmes multipares (58, 53, 13, 43, 36) 

    malaria (paludisme) (6, 12) 

    taux élevés de complexes immuns circulants (6, 33) 

    hypergammaglobulinémie (taux élevés d'anticorps) (40, 33) 

    faux positifs pour d'autres tests, y compris le test RPR (rapid plasma reagent) pour le syphilis (17, 48, 33, 10, 49) 

    polyarthrite rhumatoïde (36) 

    vaccination antihépatite B (28, 21, 40, 43) 

    vaccination antitétanique (40) 

    transplantation d'organe (1, 36) 

    transplantation rénale (35, 9, 48, 13, 56) 

    anticorps antilymphocytaires (56, 31) 

    anticorps anticollagène (qu'on trouve chez des homosexuels masculins, des hémophiles, des Africains des deux sexes, des lépreux) (31) 

    test positif pour le facteur rhumatoïde, anticorps antinucléaires, (présents tous deux dans les polyarthrites rhumatoïdes et d'autres affections associées) (14, 62, 53) 

    maladies auto-immunes (44, 29, 10, 40, 49, 43) : lupus érythémateux disséminé, maladies du tissu conjonctif, dermatomyosite 

    infections virales aiguës (59, 48, 43, 53, 40, 13) 

    néoplasmes (cancers) (40) 

    hépatite ou autre maladie du foie d'origine alcoolique (32, 48, 40, 10, 13, 49, 43, 53) 

    cholangite sclérosante primaire (48, 53) 

    hépatite (54) 

    anémie à cellule falciforme (chez les Africains) (38, 34, 40) 

    anticorps à forte affinité pour le polystyrène (utilisé dans les test kits) (62, 40, 3) 

    transfusions sanguines, transfusions répétées (63, 36, 13, 49, 43, 41) 

    myélome multiple (10, 43, 53) 

    anticorps HLA (vis-à-vis des antigènes leucocytaires de classe I & II) (7, 46, 63, 48, 10, 13, 49, 43, 53) 

    anticorps "anti-smooth muscle" (48) 

    anticorps antimembrane cellulaire (48) 

    IgM (anticorps) antihépatite A (48) 

    IgM antihépatite B (HBc) (48) 

    préparations d'immunoglobulines humaines datant d'avant 1985 (10) 

    hémophilie (10, 49) 

    affections hématologiques malignes, lymphome (43, 53, 9, 48, 13) 

    cirrhose primaire du foie (43, 53, 13, 48) 

    syndrome de Stevens-Johnson (9, 48, 13) 

    fièvre-Q avec hépatite asociée (61) 

    échantillons de sérum inactivé par la chaleur (51, 57, 24, 49, 48) 

    sérum sanguin surchargé de lipides (hyperlipémie) (49) 

    sérum venant de sang hémolysé (dont l'hémoglobuline a quitté les globules rouges) (49) 

    hyperbilirubinémie (10, 13) 

    globulines produits au cours de gammapathies polyclonales (qui se rencontrent dans les groupes à risque SIDA) (10, 13, 48) 

    réactions croisées pour d'obscures raisons chez des individus sains (10) 

    ribonucléoprotéines humaines normales (48, 13) 

    d'autres rétrovirus (8, 55, 14, 48, 13) 

    anticorps antimitochondriaux (48, 13) 

    anticorps antinucléaires (48, 13, 53) 

    anticorps antimicrosomes (34) 

    anticorps antileucocytes T (48, 13) 

    protéines du papier filtre (13) 

    virus d'Epstein-Barr (mononucléose infectieuse) (37) 

    leichmaniose viscérale (45) 

    relation sexuelle anale (réceptrice) (39, 64) 

    References

    1. Agbalika F, Ferchal F, Garnier J-P, et al. 1992. False-positive antigens related to emergence of a 25-30 kD protein detected in organ recipients. AIDS. 6:959-962.

    2. Andrade V, Avelleira JC, Marques A, et al. 1991. Leprosy as a cause of false-positive results in serological assays for the detection of antibodies to HIV-1. Intl. J. Leprosy. 59:125.

    3. Arnold NL, Slade RA, Jones MM, et al. 1994. Donor follow up of influenza vaccine-related multiple viral enzyme immunoassay reactivity. Vox Sanguinis. 67:191.

    4. Ascher D, Roberts C. 1993. Determination of the etiology of seroreversals in HIV testing by antibody fingerprinting. AIDS. 6:241.

    5. Barbacid M, Bolgnesi D, Aaronson S. 1980. Humans have antibodies capable of recognizing oncoviral glycoproteins: Demonstration that these antibodies are formed in response to cellular modification of glycoproteins rather than as consequence of exposure to virus. Proc. Natl. Acad. Sci. 77:1617-1621.

    6. Biggar R, Melbye M, Sarin P, et al. 1985. ELISA HTLV retrovirus antibody reactivity associated with malaria and immune complexes in healthy Africans. Lancet. ii:520-543.

    7. Blanton M, Balakrishnan K, Dumaswala U, et al. 1987. HLA antibodies in blood donors with reactive screening tests for antibody to the immunodeficiency virus. Transfusion. 27(1):118.

    8. Blomberg J, Vincic E, Jonsson C, et al. 1990. Identification of regions of HIV-1 p24 reactive with sera which give "indeterminate" results in electrophoretic immunoblots with the help of long synthetic peptides. AIDS Res. Hum. Retro. 6:1363.

    9. Burkhardt U, Mertens T, Eggers H. 1987. Comparison of two commercially available anti-HIV ELISA's: Abbott HTLV-III ELA and DuPont HTLV-III ELISA. J. Med. Vir. 23:217.

    10. Bylund D, Ziegner U, Hooper D. 1992 Review of testing for human immunodeficiency virus. Clin. Lab. Med. 12:305-333.

    11. Challakere K, Rapaport M. 1993. False-positive human immunodeficiency virus type 1 ELISA results in low-risk subjects. West. J. Med. 159(2):214-215.

    12. Charmot G, Simon F. 1990. HIV infection and malaria. Revue du practicien. 40:2141.

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